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BOUDOU Sainte Thérèse de Lisieux
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EGLISE SAINT PIERRE DE BOUDOU
statue de
Sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897)
Patronne des missions,
sainte patronne secondaire de la France en 1944 par le pape Pie XII.
Est fêtée le 1er octobre.
La représentation de Thérèse de Lisieux la plus largement répandue est celle en tenue de carmélite tenant contre sa poitrine un crucifix couvert de roses, des attributs qui sont devenus des symboles indissociables de l'iconographie de la sainte.
Naissance de Marie Françoise Thérèse Martin à ALANÇON le 2 janvier 1873 dans une famille modeste (père horloger-bijoutier) a une vie heureuse, comblée d’amour par ses parents et ses sœurs. A 4 1/2 ans elle perd sa mère et est élevée par ses 4 soeurs et son père. En 1877, la famille déménage à LISIEUX (100Kms au Nord d'Alençon en Normandie). Elle suivra ses études chez les Bénédictines.
A dix ans, Thérèse tombe gravement malade: Le 13 mai 1883, une statue de la Vierge Marie sourit à Thérèse qui est guérie subitement.
Elle aspire à mûrir et à être libérée. La nuit de Noël 1886, la grâce touche son cœur. C’est une véritable « conversion » qui la transforme en femme forte. L’Enfant de la crèche, le Verbe de Dieu, lui a communiqué sa force dans l’Eucharistie.
Lors d’un pèlerinage en Italie, Thérèse s’aperçoit qu’en dehors de leur « sublime vocation », les prêtres ont leurs petits côtés. Elle saisit qu’il faut beaucoup prier pour eux car ce sont des hommes « faibles et fragiles ». Thérèse comprend que sa vocation n’est pas seulement de prier pour la conversion des grands pécheurs mais aussi de prier pour les prêtres. Au cours de ce même pèlerinage, elle demande au Pape d’entrer au Carmel à quinze ans. Réponse évasive, « fiasco », mais le 9 avril 1888, elle quitte à jamais son père, ses sœurs, les Buissonnets, son chien Tom…
Heureuse d’être là «pour toujours», «prisonnière» avec Lui… et 24 sœurs dont 3 de ses soeurs de sang.
C’est vers cette époque que la jeune sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus de la Sainte-Face (tel est son vrai nom, résumé de sa vocation), découvre, après des années de recherche, la voie de l’enfance spirituelle qui va transformer sa vie. Mère Agnès (sa propre soeur) lui ordonne d’écrire ses souvenirs d’enfance. Thérèse obéit et écrit 86 pages dans un petit cahier.
En 1896, la tuberculose ronge sa santé et l’affaiblit. Elle use ses dernières forces à enseigner la voie d’enfance aux cinq novices dont elle a la charge et à deux frères spirituels, prêtres missionnaires pour l’Afrique et la Chine.
Elle garde son sourire et son exquise charité qui remonte le moral de ses sœurs, consternées de la voir mourir dans d’atroces souffrances. Par obéissance, elle continue jusqu’à épuisement la rédaction de ses souvenirs dans lesquels, avec une transparente vérité, elle « chante les miséricordes du Seigneur » dans sa courte vie. Priant pour « faire du bien sur la terre, après sa mort, jusqu’à la fin du monde », prophétisant humblement que sa mission posthume sera de « donner sa petite voie aux âmes » et de « passer son Ciel à faire du bien sur la terre ».
Elle meurt le 30 septembre 1897 à l'âge de 24 ans.
Un an après sa mort, paraissait un livre composé à partir de ses écrits «l’Histoire d’une âme» qui va conquérir le monde et faire connaître cette jeune sœur qui avait aimé Jésus jusqu’à «mourir d’amour». Cette vie cachée allait rayonner sur l’univers. Cela dure depuis plus de cent ans…
Le 17 mai 1925, Pie XI, procède à la canonisation de Thérèse et déclare qu’on pouvait désormais appeler l’humble carmélite de Lisieux : «Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus».
Dans le cas de Thérèse, les deux miracles retenus pour sa canonisation sont :
- la guérison de Sœur Gabrielle Trimusi, des Pauvres-Filles des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie (Parme, Italie), d’une tuberculose des vertèbres (1923) ;
- la guérison de Maria Pellemans (Belge venue en pèlerinage sur la tombe de la Bienheureuse Thérèse) d’une tuberculose intestinale. Cette dernière souffrait de sa maladie depuis 1919.
Le 19 octobre 1997: Le Pape Jean-Paul II proclame Sainte Thérèse Docteur de l’Église.
Photo WIKIPEDIA
D'après le site catholique par ICI
D'après le site Pèlerin par ICI
D'après WIKIPÉDIA par ICI