• HALLES du 82

    Pour recevoir des nouvelles hebdomadaires des mises à jour du blog, de nos rendez vous,

    inscrivez vous sur la newsletter cliquez ICI !

    autres liens de la section :  Les visites déjà réaliséesles futures balades, les 195 communes du Tarn et Garonne

     

      

    HALLES du Tarn et Garonne

     (page en cours de construction, commencée en JUILLET 2022)

     

     

    Une halle, appelé aussi marché couvert ou cohue, est une construction destinée à accueillir à l'abri des intempéries un marché traditionnel.

    Le mot désigne également un bâtiment consacré à un commerce de gros: halle au blé, halle aux poissons. Une halle est en général un endroit très aéré pour la bonne conservation des marchandises.

    Au pluriel, le mot halles désigne le lieu où se tient le principal marché alimentaire d'une agglomération : les halles de Paris ou les halles de Rungis.

     

    Histoire:

    Au Moyen Âge et à l'époque moderne, la halle est désignée sous le nom de cohue. Les halles n'appartenaient pas aux villes mais au roi ou aux seigneurs locaux qui, après avoir obtenu l’autorisation d'en construire une (droit de halle) par leur seigneur suzerain, les affermaient. La halle faisait l'objet d'une grande attention de leur part car ils y percevaient des droits variés (droits de cohuage et d'estalage). De plus, ces lieux privilégiés de négoce rassemblant une partie de la population locale permettaient une surveillance et une juridiction spéciales.

    Ainsi, les halles servaient à la fois de lieu de transaction, de salle de réunion, de justice, d'administration, d'entrepôts du matériel d'incendie, voire de prison. En l’absence d’un bâtiment dédié, la halle tenait parfois lieu de maison commune servant aux réunions municipales. Dans les bastides du Sud-Ouest, la halle occupait un îlot central dans le quadrillage des rues et se doublait d’un bâtiment fermé pour cet usage, la halle servant plutôt de lieu de réunion et de délibération alors que le marché se tenait sous les arcades de la place. Le gibet, dressé sur les places de marché, leur était souvent associé.

    Les halles en bois connaissent dès la fin du 18e siècle des fortunes diverses. D’un entretien coûteux (réfection des couvertures), beaucoup de bâtisses se trouvent alors en ruine. Certaines menacent de s’effondrer et doivent être démolies. D’autres sont détruites pendant la Révolution pour des raisons politiques car elles symbolisent le pouvoir seigneurial. Le 19e siècle voit l’abandon de ces modèles de grande charpenterie en bois. Leur état sanitaire souvent déplorable fournit alors aux hygiénistes de nombreux arguments pour réclamer leur destruction. Le développement de parkings dans les centres-villes et l’élargissement des voies de circulation contribuent à leur disparition. Elles sont progressivement remplacées par des marchés couverts en pan-de-fer ou en pierre.

    D'après WIKIPÉDIA

     

    page 1/7 de A à B       par ICI

    page 2/7 de C à F        par ICI

    page 3/7 de G à L        par ICI

    page 4/7 de M à O       par ICI

    page 5/7 de P à R        par ICI

    page 6/7 de S à Saint  par ICI

    page 7/7 de sal  à Z     par ICI

     

    Merci au service inventaire PETR du Pays Midi QUERCY, pour les renseignements fournis voir site par ICI