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MONTRICOUX
autres liens de la section : Les visites déjà réalisées, les futures balades
MONTRICOUX 82800
Visite Réalisée le 11 SEPTEMBRE 2017
Pays du Bas QUERCY en TARN et GARONNE,
et dans la région OCCITANIE Pyrénées Méditerranée ex MIDI PYRENEES
Nous remercions Georgette TILLON 1er adjoint à la mairie pour nous avoir permis de rencontrer André LACOMBE. Il nous a fait partager toute la journée et bénévolement sa passion pour MONTRICOUX et nous a dévoilé tous les secrets de la commune.
Ce fut un vrai bonheur qu'il en soit vivement remercié.
MONTRICOUX la vidéo :
Extrait France 2 JT de 13h (vendredi 8 avril 2016) ICI
MONTRICOUX sa situation par GOOGLE Maps : ICI
Située sur le rebord du plateau en abrupt au dessus de la rive droite de la rivière Aveyron, la commune de Montricoux, d’une superficie de 2644 hectares avec une altitude comprise entre 90 mètres et 275 mètres se trouve en Bas-Quercy en bordure des derniers contreforts du Massif-Central en un point où la rivière sort des gorges calcaires pour couler dans la plaine. D’où l’appellation de « Portes des Gorges de l’Aveyron ». La D964 mène vers CAUSSADE (82), la D78 vers CAYRAC (82), la D958 VERS Saint ANTONIN (82); Il suffit de passer le pont pour se trouver sur la D115 qui venant de MONTAUBAN (82) longe la vallée de l' Aveyron rive gauche.
Hameau de la commune : Saint Laurent
Les 12 cours d'eau qui traversent le territoire : Rivière L'aveyron, Ruisseau de Rieumet, Ruisseau Riounègre, Ruisseau d'Embarre, Ruisseau de la Lisse, Ruisseau de Pixarel, Ruisseau de Castres.
Les communes limitrophes : Bioule 82800, Bruniquel 82800, Caussade 82300, Cazals 82140, Negrepelisse 82800, Penne 81140, Saint Antonin 82140, Saint Cirq 82300.
MONTRICOUX son toponyme : (d’après le livre Toponymie du Tarn et Garonne de Paul BURGAN et André LAFON).
La forme la plus ancienne "Monte Ricozo" en 1175 sera remplacé par Montricofs et Monntricols pour arriver à Montricoux vers 1650 (ecrit Mont-ricos), Le premier élement est justifié par la situation du village. Le second élément est un anthroponyme germanique composé de RIC (puissant) et WULF (loup)(se dit woulf). Les fomes anciennes du XI et XII l'atteste. La diversité des syllabes finales indique la difficulté d'orthographier des patronymes germaniques pour les copistes habitués au latin.
MONTRICOUX et ses anciennes paroisses : Au 12e siècle, outre Montricoux, quatre autres paroisses dotées d'églises étaient implantées sur le territoire correspondant à la commune actuelle : Des églises rattachées à ces paroisses, ne subsistent que l'église Saint-Laurent à l'ouest de la commune et les vestiges de l'église Saint-Benoît de Castres au nord-ouest. Des églises rattachées à ces paroisses, ne subsistent que l'église Saint-Laurent à l'ouest de la commune et les vestiges de l'église Saint-Benoît de Castres au nord-ouest.
Saint Geniès Mormac : A 165 mètres d'altitude est situé à un kilomètre au nord est du village. La forme Mormacus que Moulenq attribue au site de MONTRICOUX concerne en réalité selon Cabié et Hautefeuille, Saint Geniès. Son toponyme est de type gallo-romain composé d'un anthroponyme suivi du suffice ACUM (Bernadus Raimondus de Mormum du monastère de St Orens en 1098). L'ancienne église appartenant aux templiers a disparu depuis la révolution après le rattachement de ce territoire à la commune de Montricoux).
Bretou : A 165 mètre d'altitude est situé à 'extrémité nord est de la commune, assez près de Saint Benoît de Castres et au nord de la vaste forêt du Bretou. Son toponyme est vraissemblablement un sobriquet donné à des étranger qui ne savait pas s'exprimer en occitan (BRET est attesté en ancien occitan et usité avec le sens de "bègue" le verbe "bretonejar" a le sens de "bredouiller") dédiée vraisemblablement à Sainte-Madeleine. Il n’en reste aujourd’hui qu’un pan de mur dont l’appareillage de certaines assises à feuilles de fougère caractérise l’époque mérovingienne. Le lieu où elle se trouve était nommé « la Madeleine » au XI ° siècle et à la fin du XIX° siècle.
Saint Benoît de Castres : A 155 mètres d'altitude est situé au nord est de la commune à proximité de la forêt du Brétou et à la limite de Saint Cirq. Le toponyme et le ruisseau sont tout ce qui reste de l'ancienne paroisse. La construction est antérieure à l’an mille. L'église était dédié à St BENOÎT de NURSIE né en OMBRIE vers 480 et mort en 547 qui fonda le monastère du Mont Cassin de l'ordre des bénédictins. Le culte y fut célébré jusqu’à la Révolution et un pèlerinage avait lieu tout les ans pour implorer la guérison des enfants malades, il se poursuivit jusqu’au XIX ° siècle).
Saint-Laurent : (anciennement la chapelle de Saint-Félix ) plus de détail cliquer ICI
MONTRICOUX son histoire : (d’après le livre Toponymie du Tarn et Garonne de Paul BURGAN et André LAFON et le site de la mairie)
Le territoire de la commune de Montricoux a été habité dès les temps Paléolithiques comme en témoignent les silex taillés qui ont été trouvés en divers points.
A l’époque Gauloise, la région dans laquelle se trouve Montricoux appartenait au peuple des « Cadurques », qui a donné son nom au Quercy et à sa capitale Cahors.
La première seigneurie appartenait aux familles vicomtales de Saint-Antonin et de Toulouse (Famille de BRUNIQUEL) Vers 1174 celle-ci elle cède ses droits sur le site aux cisterciens deBeaulieu, qui les cédèrent rapidement à la Commanderie de Vaour.
La première agglomération, qui s'est vraisemblablement formée autour du château, peut être contemporaine de la mise en place de la commanderie, membre important de la commanderie templière de Vaour à la fin du 12e siècle ou au début du 13e siècle. En 1276, les principaux équipements constitutifs d'un village (un four, un pressoir banal) sont cités dans la charte des coutumes.
Il est difficile de connaître l'étendue des dégâts causés par les guerres de Religion. A l'inverse de nombreux bourgs voisins, Montricoux reste attaché au catholicisme. Elle n'est pas touchée par les premières attaques calvinistes de 1561, mais les conflits suivants détruiront une partie de l'enceinte et la quasi totalité du château. Le donjon est l'unique partie du château qui résistera aux destructions. Il sera reconstruit par la famille de Malartic durant la première moitié du 18e siècle.
En 1851, Montricoux compte 1200 habitants et joue le rôle de centre pour la campagne environnante. Dès 1858, la commune est desservie par la ligne de chemin de fer reliant Montauban à Lexos (66 km). La gare, implantée de l'autre côté du pont au hameau du Bugarel, comprenait une gare de voyageurs et une gare de marchandises. La croissance démographique qu'avait connu Montricoux jusqu'alors chute durant la première moitié du 20e siècle : en 1975, on ne dénombrait plus que 720 habitants. Depuis, la population ne cesse de progresser : en 1999, elle atteint 969 habitants. Cette augmentation engendre la construction de maisons en périphérie du centre bourg, mais également à l'ouest de la commune, au lieu-dit Saint-Laurent.
MONTRICOUX son blason : d'après le blog de Daniel JURIC
MONTRICOUX Aujourd'hui : Les 1163 (2014) Montricouniases et Monricounais vivent du commerce et de l'artisanat, du tourisme mais aussi de l'agriculture. Une vingtaine d'associations rendent la commune plus dynamique.
- Fait partie de la communauté de communes du Quercy vert Aveyron cliquer ICI
- Depuis 2015 fait partie du Canton "AVEYRON-LÈRE"
- Arrondissement MONTAUBAN 82000
- Fête locale : 4éme Week end de JUILLET
- Grande foire Saint Eutrope le dernier dimanche d'Avril, Spectacle son et lumière au château, la dernière semaine d'août.
- Le marché a lieu le vendredi matin.
- Ses principaux acteurs : Une pharmacie, un centre médical, 3 multi services, une épicerie, un boulanger, une boucherie, un bar tabac, une couturiere, un quincailler, 3 coiffeuses plus de détails sur le site de la mairie cliquer ICI
MONTRICOUX et ses célébrités :
- Marcel-Lenoir (1872-1931), véritable artiste, il est à la fois bijoutier, dessinateur, peintre, et fresquiste
- Louis Cazottes (1846-1934), artiste peintre voir plus de détails Cliquer ICI. (a peint entre autre les fresques de Notre Dame de Lapeyrouse à LAFRANCAISE.) Les poncifs (Autrefois, esquisse ou modèle dessiné piqué de trous sur ses lignes principales et destiné à être reporté sur un support (celui de l'œuvre à exécuter) au moyen d'une ponce. (La poudre, en passant par les trous, reproduisait en pointillé les contours du dessin.) ont été conservé par la mairie. A installé une école d'art chrétien dans un bâtiment très largement éclairé par des grandes baies vitrées appelé sacré coeur. Actuellement abrite la médiathèque libre au public où l'on peut admiré quelques oeuvres. plus de détails sur le sacré coeur Cliquer ICI.
- Duc de SULLY (1559-1641): ministre du roi Henri IV, seigneur de MONTRICOUX après la mort d'Henry IV
- Famille Faventines (ancien comte 1759)
- André LACOMBE (1949-2021) Ecrivain et historien du village, homme de devoir et passeur de mémoires autour de plusieurs ouvrages.
- D'après Rémy Constant Belrepayre les personnages célèbres (MAJ 15/12/18) cliquer ICI
MONTRICOUX son patrimoine :
En parcourant rues et ruelles, on peut admirer de très belles maisons à Pan de bois ainsi que quelques ouvertures aux encadrements remarquables pour plus de détail par Midi Quercy cliquer ICI et cliquer ICI.
- Les Tours de guet et les Remparts: Des vestiges de l’ancien rempart subsistent flanqués de trois tours (elles étaient à l’origine plus hautes et grenelées) qui témoignent du riche patrimoine historique et architectural du village. A l’origine, une quatrième tour existait derrière l’église elle fut démolie tout comme les trois portes surmontées de tourelles qui donnaient accès au bourg : La Porte Basse à l’ouest, la porte haute à l’est et la porte Saint-Antoine face à l’Aveyron au centre des remparts. Celle située au Nord, place de la Porte-Haute, dite du Réginet est communale les deux autres l’une au Sud et l’autre à l’Est sont privées. L’ancien rempart, dans lequel ont été creusées des ouvertures, subsiste de chaque côté de ces tours. Le mur de soutènement du pied de la tour Sud jusqu’à la Brèche a été reconstruit, renforcé par cinq arches, fin XIX°.
- Le Donjon des Templiers : Le donjon bien plus haut qu’il ne l’est actuellement, comprenait une salle basse voûtée, sans autre ouverture à l’origine que d’étroites meurtrières sur la façade sud. Au-dessus, il y avait trois étages et une plate-forme crénelée. Aux angles s’élevaient quatre tourelles en encorbellement également crénelées; dans celle du nord-ouest se trouve l’escalier à vis qui desservait les différents étages; on pouvait y accéder par une porte donnant dans le château et par une galerie boisée à l’intérieur de la salle basse, au niveau du premier étage. La construction du donjon fut achevée en 1287.
Après avoir résisté à divers assauts durant les guerres de Religion, le donjon Symbole de l’autorité seigneuriale sera malheureusement mutilé à la Révolution de 1789 par la population. Il resta longtemps en l’état de ruines, avant que ses murs ne furent arasés et qu’une toiture ne soit mise en place pour protéger l’édifice des intempéries. -
Le château : Notre visite du 7 octobre 2019 cliquer ICI
- L’église Saint-Pierre : Bien qu’une église soit déjà présente au VIII° siècle, peut être sur l’emplacement de celle qui existe actuellement, c’est aux Templiers que nous devons très certainement, la construction de la partie la plus ancienne de l’église actuelle, celle qui correspond au porche d’entrée et qui appartient à l’architecture romane tertiaire du XII° siècle. (André Bergouniou BSATG 1939).
Huit chapelles ont été ouvertes postérieurement à la construction de l’édifice, six de part et d’autre de la nef, une dans le cœur à droite et la huitième a été construite au dessus de la chapelle Saint-Antoine à gauche en entrant. Elle communique encore aujourd’hui avec le château. - Le clocher: ajouté postérieurement au flanc droit de l’église Saint-Pierre, date de 1549. C’est Inard de Montrosier, Commandeur de Vaour et Prieur de Montricoux qui fut condamné par le Parlement de Toulouse à le faire élever à ses frais et dépens, sauf pour le transport des matériaux qui restèrent à la charge des paroissiens.
Bâti sur le modèle de ceux de Négrepelisse et de Caussade, dans la lignée des clochers de « style toulousain » et à l’instar du plus illustre d’entres-eux celui de la Basilique Saint-Sernin de Toulouse. Il se compose d’un socle carré en pierres de taille flanqué d’une tourelle dans laquelle s’élève un escalier à vis également en pierre qui comporte 82 marches.
Cette base sert de support à une tour octogonale en briques d’une hauteur de 12,65 mètres, composée de trois parties percées de fenêtres géminées à l’arc de mitre. A la base de cette tour se trouve la première galerie et pour atteindre la seconde qui se trouve au sommet, il faut emprunter un escalier en bois avec paliers composé de 62 marches. Des gargouilles en forme de chimères marquent les angles de l’octogone. - Le Sacré-Cœur: C’est l’artiste-peintre Louis Cazottes, enfant du Pays, qui fit construire cet imposant bâtiment qui renferme aujourd’hui la Médiathèque de la communauté des communes « Terrasses et vallée de l’Aveyron ». Le Sacré-Cœur fut érigé grâce au don d’une bienfaitrice Anglaise pour abriter une école d’art Chrétien qui ouvrit ses portes en 1880. Les élèves admis étaient pensionnaires. L’école du Sacré-Cœur ferma ses portes à la guerre de 1914, elle servit ensuite d’atelier à l’artiste jusqu’à sa mort en 1934. Le bâtiment sera alors reconverti en école communale, il servira entre-autres de salle de théâtre, de salle de cinéma et abritera bon nombre de locataires jusqu’au début des années 60. Date à laquelle il sera racheté par une communauté religieuse de Toulouse qui le transformera en colonie de vacances. Revendu ensuite à des particuliers avant de devenir la propriété de la commune de Montricoux, il a été, aujourd’hui, cédé à la Communauté des communes pour être transformé en Médiathèque et abriter les associations. La trace du maître y est toujours présente par deux magnifiques plafonds qui ont été restaurés. Plus de détail par MIDI QUERCY Cliquer ICI.
MONTRICOUX autres sites touristiques: (? à confirmer après notre entretien avec la mairie lors de notre pré visite)
- Le moulin de Montricoux : (mouli privé ne se visite pas) Les premières traces de sa présence remontent à 767, et son droit d'utiliser l'eau de la rivière pour faire tourner ses turbines date d'au moins 1566. Et il tourne comme à l'époque napoléonienne, quand 800 moulins jalonnaient l'Aveyron rien que dans le département. Aujourd'hui, l'édifice de Montricoux se retrouve bien seul : depuis cette année, il est le dernier moulin en activité dans tout le Tarn-et-Garonne, car la famille Fauchet n'a jamais voulu y renoncer. Thierry est meunier comme ses ancêtres depuis trois générations. Diplômé de l'école française de meunerie, il a fait le choix de passer au bio en 2000. Et avec six salariés, il produit deux tonnes et demi de blé, d'épeautre ou de seigle chaque année.
- En 1181, outre le moulin actuel qui est toujours en fonctionnement, il existait un autre moulin, dit de Guiraudinc qui se situait vraisemblablement à la Mouline. (André Bergouniou BSATG 1939)
Un autre moulin, est signalé dans des documents plus récents, il s’agit du moulin d’Embarre dont le bâtiment existe toujours proche du ruisseau du même nom. - les lavoirs, construits au XIX° siècle, se situent à proximité des hameaux, ils sont de forme rectangulaire, composé de deux bassins, l’un pour le lavage, l’autre pour le rinçage, disposés en enfilade. Sur les grands côtés des dalles de pierre inclinées servent de planches à laver. Sur la commune de Montricoux on en compte actuellement trois du même type :
- Le lavoir d’Embarre situé sur le ruisseau du même nom à la limite de la commune de Bruniquel.;
- Le lavoir de Marcayran situé au lieu-dit du même nom, il est attenant à un réservoir sur lequel est fixée une pompe;
- Le lavoir couvert de Saint-Laurent cliquer ICI;
- Il existait un autre lavoir proche du village, appelé le lavoir de la fontaine (démoli), il était situé sous le pont de la route de Caussade. Il fut démoli ainsi que la fontaine lors des travaux pour l’adduction d’eau pour le village.
- Il y a également deux bassins implantés aux Arbus dont l’un est complété d’un réservoir et d’une pompe.
- Un autre réservoir avec pompe, contre lequel est adossé un abreuvoir rectangulaire est situé au lieu-dit Péchingaché à proximité du hameau de Bourdelle à la limite de la commune de Saint-Cirq. Il est alimenté par le ruisseau de Castres.
- Des photos par ICI
- au lieu dit Bourdelle une maison privée affiche sur sa façade un Christ en croix, en pierre et à taille réelle
- un panneau d'un chevalier a été réalisé par quelques bénévoles en 2015, pour le passage du tour cycliste de France; Il mesure plus de 7 mètres et vous souhaite la bienvenue à l'entrée du village sur la RD 958 (route reliant St Antonin à Montricoux)
- Insolite (MAJ 04/18) cliquer ICI
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MONTRICOUX les premières photos :
(merci à tous ceux qui ont accepté le partage)
Photos aériennes d'après ECTM (Entre Ciel Terre et Mer) (MAJ 12/2020) par ICI
Merci à François MAGNE pour ces photos vues d'en haut : Accès à son site cliquer ICI
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